Friday, June 6, 2014

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The Wicked + The Divine - Tome 01 : Faust départ

Détails sur le produit

Album: 176 pages

Editeur : Glénat Comics (26 octobre 2016)

Collection : Comics

Langue : Français

ISBN-10: 2344018077

ISBN-13: 978-2344018071

Dimensions du produit:

28,3 x 1,7 x 18,5 cm

Moyenne des commentaires client :

4.1 étoiles sur 5

7 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

230.323 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Produit beau, état neuf. Le scénario n'est pas incroyable mais suffit à me donner la curiosité d'acheter le tome 2.

Imaginez Florence + The Machine en Amaterasu, déesse shinto du soleil, un David Bowie peroxydé devenu femme en Lucifer, une Rihanna joueuse et cruelle en Sekhmet, déesse féline de la vengeance, et un membre de Daft Punk en Woden/Odin, et vous n’aurez qu’un petit aperçu de l’univers graphique de The Wicked + The Divine.Le pitch a un petit goût d’American Gods, de Neil Gaiman, et c’est ça qui m’a attirée de prime abord. Imaginer des dieux antiques dans un monde contemporain est un thème qui m’était déjà familier (via le roman de Gaiman mais également d’autres histoires.*)Mais la finesse du récit et la beauté des dessins m’a captivée pour de bon et fait oublier d’autres éléments de comparaison pour me plonger dans ce récit unique en son genre.Vivre vite, mourir jeune, et faire un beau cadavre (décapité)Wic+Div, pour les intimes, raconte l’histoire de Laura, adolescente mélomane un peu fâchée avec le lycée et ses parents, qui fait l’école buissonnière pour aller assister aux concerts de grandes stars de la pop. Ce qui change d’une Miley ou d’un Justin que l’on connaît, c’est que ces stars prétendent être incarnées par un dieu. Malgré leur talent incontestable et les hordes de fan subjugués, cette déclaration est évidemment remise en cause par le commun des mortels, à commencer par Cassandra, une journaliste que rencontre Laura au tout début de l’histoire. Elle demande des preuves de leurs pouvoirs divins, preuve qu’ils ne peuvent fournir, car ils ont promis de ne pas faire usage de leurs pouvoirs devant les mortels.Or, cette interdiction sera rapidement brisée par l’une d’entre eux (je vous laisse deviner laquelle), qui sera d’ailleurs ensuite incarcérée pour son crime. Laura va mener l’enquête pour essayer d’innocenter la prisonnière, plonger dans les bas-fonds de Londres et petit à petit rencontrer le reste du panthéon.Voilà en gros le scénario de ce premier tome. On apprend par petite touches que ces dieux existent suite à l’intervention d’une déité appelée Anankè, qui propose aux mortels une sorte de pacte : incarner un dieu pendant deux ans, puis mourir. Un pacte faustien, pourrait-on dire, si l’on s’en tient au titre choisi pour cette première partie, mais les informations manquent encore pour pouvoir dessiner le piège plus en détails. On sait que le pacte est réel, car ces dieux ont vraiment des pouvoirs. Pourquoi le pacte existe et quel est son but, ça reste encore à découvrir.« 1, 2, 3, 4. »J’ai dévoré l’ouvrage, et ce pour plein de raisons.Le scénario, tout d’abord, dense et prenant et la richesse des personnages. On se délecte de découvrir chaque nouveau dieu, avec son caractère et ses mystères. L’intrigue se déroule doucement et les enjeux divins se révèlent petit à petit. Le personnage de Laura est touchant avec ses incertitudes et ses actes de courage. Elle a un petit côté Kamala Khan. Il y a aussi les mystères concernant le pacte, et surtout on se demande qui donc peut vouloir tuer les dieux avant l’heure.Les dessins : le trait est très clair, on reconnaît les stars réelles à laquelle la série rend hommage. Chaque dieu déchire, tout simplement. Caractère comme apparence sont hauts en couleur. Ce sont tous des pépites de paillettes et de glam (oui oui même les gothiques).Les couleurs : un travail exceptionnel pour un univers chamarré. J’ai un faible pour le maquillage d’Amaterasu, la teinture capillaire de Laura, les looks de Morrigane… et oh ces couvertures ! (notamment celles de Stephanie Hans). L’univers est pop et acidulé, mais n’empêche pas les passages plus sombres. Car l’univers, lui, n’est pas rose bonbon (attendez-vous à des morts).La playlist : les auteurs ont concocté une playlist éclectique (mais définitivement pop) sur Spotify de plus de 20 heures qui leur a servi d’inspiration et de fond sonore durant leur travail. Elle accompagnera agréablement vos lectures. Vous y trouverez, en vrac, beaucoup de David Bowie, Kate Bush, Madonna, Daft Punk , Lorde ou d’autres titres plus ou moins connus.La diversité des personnages : plein de personnages féminins (plus que de masculins, d’ailleurs, ce qui est assez rare pour le souligner). Une diversité britannique comme je l’aime (entre autres, l’héroïne principale est métissée). Un ton queer assumé (Lucifer androgyne, Cassandra transsexuelle, Baal gay…). Beaucoup de « jeunes et beaux » (mais les dieux le sont forcément) ; restent Anankè en femme âgée (c’est rare de voir un personnage âgé sur le devant de la scène), et Minerva qui a douze ans.Les personnages féminins sont dessinés sans sexualisation excessive, à vrai dire sans sexualisation tout court : ils sont cool avec leur propre style, et c’est terriblement agréable.D’un point de vue multiculturel, les auteurs font également un effort de représenter des dieux de différentes origines et cultures, sans se centrer exclusivement sur la mythologie européenne. On trouve Lucifer, Morrigane, Minerve, Woten/Odin, Baphomet, mais aussi Baal, Sekhmet, Amaterasu… et cette fucking Tara dont personne ne sait d’où elle vient (mais dont l’auteur admet qu’elle est une sorte d’union improbable entre Lady Gaga et Taylor Swift)J’ai un peu tiqué au début, comme Cassandra le dit d’ailleurs : « Je vois une mioche de province fan de cosplay [blanche et rousse], qui ne peut même pas envisager que se déguiser en déesse shinto puisse gêner, voire offenser, certaines personnes. » Que ces dieux soient incarnés par un mortel qui n’a pas forcément l’origine ethnique attendue est pleinement assumé par les auteurs. On leur pardonne volontiers, car la contradiction fait pleinement partie de l’univers et de leur mythe (même si elle n’est pas clairement expliquée dans le livre de prime abord).Cette diversité est clairement l’un des points forts de la série et une raison supplémentaire de l’aimer. Comme l’explique justement Violette Paquet, auteure féministe et lesbienne, citée par Slate : « Saga,Rat Queens et The Wicked + The Divine sont les preuves qu’il est possible de créer des personnages intéressants sortant des stéréotypes. WicDiv est une série très inclusive. Chaque personnage a son histoire. Son identité de genre et son orientation sexuelle ne constituent que des éléments de sa personnalité. Nombreuses sont les œuvres culturelles, les séries policières par exemple, où les personnages LGBT, souvent les femmes trans, seront les victimes d’un assassin. […] La série représente des femmes multiples, fortes et intelligentes. Elles sont des actrices à part entière de l’histoire et leurs décisions influencent le récit. Laura est tout ce que j’aime chez une protagoniste: elle est curieuse, elle porte le récit et je trouve cela réjouissant de voir une héroïne noire à la sexualité ambiguë. »« Bowie a sauvé plus de monde que Batman »(cf. Gillen sur Pitchfork)The Wicked + The Divine est un récit sur plusieurs niveaux : l’adolescence et ses changements, le statut d’artiste et de créateur, la place des célébrités et de leurs fans, le rôle de la religion dans notre monde contemporain, la brièveté de la vie…On compare parfois la série à Phonogram, l’autre série écrite par Gillen et dessinée par McKelvie avant Wic+Div. Dans un article de Wired, il explique la différence de vue entre les deux séries : « Phonogram parle de mes 20 ans, de la consommation de l’art et de la façon dont cela vous change. Ça ne s’intéresse absolument pas aux musiciens. The Wicked + The Divine parle de mes 30 ans. Ça raconte ce qui m’est arrivé depuis la sortie de Phonogram – lorsque quelqu’un à la fois fan et critique devient créateur. Et comment il faut s’adapter quand ça arrive. Et pourquoi diable quelqu’un voudrait devenir écrivain, artiste, ou musicien de nos jours de toute façon ? »En bref, foncez !

Ce tome est le premier d'une série indépendante de toute autre. Il comprend les épisodes 1 à 5, initialement parus en 2014, écrits par Kieron Gillen, dessinés et encrés par Jamie McKelvie, avec une mise en couleurs réalisée par Matthew Wilson. Les couvertures ont été réalisées par McKelvie & Wilson. Le tome comprend également les couvertures variantes réalisées par Bryan Lee O'Malley, Chip Zdarsky, Stephanie Hans, Kevin Wada, Becky Cloonan, ainsi que 3 couvertures variantes de McKelvie. Il comprend aussi la bande annonce de la série : 2 pages de bande dessinée conçue comme une collection de moments clé, rapprochés les uns des autres.Le 31 décembre 1923, 4 personnes sont assises à une table ronde avec chacun un verre de vin. La table peut accueillir 12 personnes, et il y a un crâne sur la table, devant chacune des chaises vides. Une vieille femme avec un masque se tient debout, leur demande s'ils souhaitent ajouter quelque chose, les assure de son amour, leur dit au revoir et quitte la pièce. Baal (Hammon), Amaterasu, Minerva et Susannoo claquent des doigts avec leur main droite et le manoir explose, les tuant. Le premier janvier 2014, dans le quartier résidentiel de Brockley dans le Sud de Londres, Laura Wilson (17 ans) sort de la maison de ses parents. Elle s'arrête dans des toilettes publiques pour se changer, avec une perruque rouge, et une robe blanche, complétée par un magnifique collier. Elle se rend au concert de la chanteuse pop Amaterasu, complètement sous le charme de son chant, comme tous les autres spectateurs. À la fin du concert, toutes les personnes présentes s'évanouissent pendant la dernière chanson. Laura est la première à reprendre connaissance. Elle constate qu'elle est observée par une femme habillée d'un costume blanc, qui connaît son prénom, qui la félicite d'être la première à reprendre conscience et qui s'allume une cigarette avec une flamme jaillie de son pouce droit.Laura reconnaît en son interlocutrice Luci, une autre star de la pop qu'elle est également allée voir en concert. À sa grande surprise, Luci propose à Laura d'aller rencontrer Amaterasu qui est en train de donner une interview dans le salon d'à côté. Dans la pièce, se trouve également une autre star pop Sakhmet. Répondant aux questions de l'intervieweuse Cassandra Igarashi, Amaterasu explique qu'elle est une déesse, qu'elle vit pour être source d'inspiration pour ses fans. Iagarashi la prend de haut, lui rappelant qu'elle est une jeune femme de 17 ans s'appelant en réalité Hazel Greenaway, originaire d'Exeter. Igarashi ne se laisse pas embobiner et indique qu'elle connaît la musique : le concept de Récurrence, une fois par siècle une douzaine de dieux s'incarnent sur Terre, et ils disposent de 2 ans de vie avant de mourir à nouveau. Elle estime que ces soi-disant dieux (Amaterasu, Luci, Sakhmet) sont des imposteurs ayant acquis un vernis de culture mythologique en lisant wikipedia. Tout d'un coup Sakhmet bondit de son canapé, distrait par un point rouge qui bouge sur le mur. Une pluie de balles s'abat sur la pièce, provenant de 2 tireurs d'élite postés sur le toit de l'immeuble d'en face. Luci décide de prendre les choses en main.Kieron Gillen et Jamie McKelvie n'en sont pas à leur coup d'essai, ayant déjà réalisé la série indépendante Phonogram et une saison des Young Avengers pour Marvel. En prenant ce tome en main, le lecteur constate tout de suite le soin apporté à son design, depuis les couvertures très impressionnantes avec les gros plans de visage, aux pages d'intertitres, en passant par les sigles des popstars dans les petits badges ronds disposés en cercle. Ensuite, il est impressionné par l'apparence clinique et détachée des dessins. Jamie McKelvie utilise un trait noir très fin pour détourer les surfaces, donnant une impression de description précise, mêlée d'une impression de propreté, de netteté et de dessin très facile à lire. Il montre exactement les choses et les gens comme ils sont, tout en introduisant un degré de simplification, comme s'il ne s'attachait qu'à rendre des contours clairs et nets. Le lecteur constate dans le même temps que le travail de mise en couleurs de Matthew Wilson complète et nourrit ces contours détourés, de manière simple, sans appliquer des dégradés aux milles nuances, ni en ajoutant des textures sur chaque surface. Du coup, avec des formes aux contours nets et évidents, et une mise en couleurs cadrée, les cases prennent une apparence simple et évidente, offrant une lecture d'une grande facilité. De même l'intrigue s'avère très linéaire. Un groupe de jeunes gens prétend être la réincarnation de dieux pour une durée de 2 ans. La séquence d'ouverture indique au lecteur qu'il s'agit d'un fait attesté dans le cadre du récit. La dynamique du récit repose sur une enquête : quel est le dieu responsable du meurtre du juge Holmes ? Facile d'accès et simple de lecture.Dès la première scène, le lecteur est happé par l'ambiance de mystère macabre (un crâne en gros plan, une forme de suicide collectif) et par le pouvoir de séduction des dessins. Ils sont propres sur eux et nets, avec des détails raffinés. Le lecteur peut voir la forme des boutons de manchette assortie à la cravate, le collier de perle, le masque de perle d'Ananke richement décoré, le motif imprimé de sa robe, la forme des chaises au dossier très droit, les dalles du carrelage, etc. Il prend conscience qu'il ne manque que la sensation de texture des matériaux pour que la description soit complète, tout en se rendant compte que si le dessinateur ou le coloriste avait ajouté ces informations visuelles, les dessins deviendraient surchargés et illisibles. Avec cette entrée en matière, il devient sensible à la manière dont la narration visuelle apporte des informations. Rapidement, il observe comment les dessins montrent la personnalité des différents personnages divins, à commencer par leur tenue vestimentaire : le costume blanc chic et sophistiqué de Luci, les tenues changeantes de Morrigan en fonction de sa personnalité dominante du moment, le costume rouge haute couture de Baal Hadad porté sur un teeshirt et une chaîne en or, la robe vaporeuse d'Amaterasu. Cette attention apportée aux tenues vestimentaires participe visuellement à souligner l'importance que ces individus accordent à leur apparence.De la même manière, la première scène attire l'attention du lecteur sur le choix du mobilier, sa disposition et la décoration d'intérieur. Effectivement par la suite, Jamie McKelvie continue à créer des environnements concrets et plein de personnalité. Le lecteur reconnait immédiatement une rue résidentielle de Londres, avec ses maison bien alignées à 1 étage et ses fenêtres à guillotine, les coulisses de la scène avec leurs murs en brique non décorés et l'éclairage industriel, la salle d'audience où le juge Holmes entend la déposition piquante de Luci, le petit jardinet minable de la maison des parents d'Eleanor Rigby, la décoration m'as-tu-vu de l'appartement de Baal… Progressivement, le lecteur se rend compte de la manière dont McKelvie accentue discrètement une expression de visage de ci de là , conférant également un petit supplément d'âme au personnage en train de s'exprimer. L'artiste n'est pas en reste pour les moments spectaculaires comme des bris de vitre, une tête qui explose, une tête tranchée, un mur composé de visages d'Ananke, une nuée de corbeaux… Même s'il utilise beaucoup la succession de têtes en train de parler pour les dialogues, Jamie McKelvie conçoit ces champs et contrechamps de manière différente pour chaque discussion, avec des visages expressifs, que ce soit par le regard, par la forme de la bouche, et même par l'inclinaison de la tête.L'écriture de Kieron Gillen s'avère tout aussi séduisante. Il est difficile de résister à ses dieux hautains, à l'aura irrésistible, à la célébrité sans remords, au caractère difficile. Ils sont humanisés au travers du regard de Laura Wilson, une vraie fan qui les côtoie et qui n'hésite pas à s'impliquer personnellement pour les aider, surtout pour aider Luci. Au-delà de l'enquête pour découvrir le vrai coupable du meurtre du Judge Holmes, le lecteur prend plaisir à côtoyer lui aussi ces individus hautains, confiants dans leur supériorité par rapport aux simples humains, mais aussi tragiques car ils savent qu'ils ne disposent que de 2 ans pour profiter de leur condition. Bien sûr, le lecteur peut y lire une métaphore de la jeunesse, de cet âge de tous les possibles, des découvertes et d'un rythme de vie effréné. S'il est en phase avec la culture pop de Kieron Gillen, il relève des clins d'Å“il discrets à quelques chansons. Par exemple, quand aura Wilson indique qu'elle a tout juste 17 ans, Luci complète sa phrase par une autre phrase extraite de I saw her standing there, des Beatles. Mais ces références sont en arrière-plan de la narration, sans jamais devenir l'unique intérêt de la lecture. Ce premier tome se focalise sur la relation entre Laura et Luci. Cette dernière révèle la déité qu'elle incarne dès sa première apparition, et le lecteur découvre avec surprise que le scénariste développe un portrait social et psychologique aussi inattendu que pénétrant de cette personne. La mort survenant dans le dernier épisode rappelle également que l'histoire s'ouvre avec un gros plan sur un crâne, déjà un symbole de la mort.Ce premier tome remplit pleinement son office : le lecteur sait qu'il reviendra pour connaître la suite de l'histoire, totalement fasciné par ces individus se déclarant divinité. Il est sous le charme de l'élégance des dessins des Jamie McKelvie et de la mise en couleurs de Matthew Wilson. Il est séduit par la personnalité de la narration, intelligente, cultivée, matoise.

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